Cuando la tele y la escuela mienten, las roscas Parcán dicen la verdad

Un empresari ensenya lo que ens amaguen a les escoles.

Lo bueno de tener una sociedad civil responsable y vibrante es que mantiene a raya al Estado, que trata de dominar nuestra vida desde la cuna a la tumba. Y claro, si en las escuelas y en las teles se enseña a los niños que Cataluña es algo distinto de España, pues habrá que hacer algo.

I l’empresari de La Zarza, a prop de Mèrida, ha decidit que les seves rosques Parcán ayudarán a los chavales mientras meriendan, para que enmendar las trolas que escuchan en el cole y en la tele.

Buen trabajo, amigo.

Dolça i vibrant societat civil…

 

 



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19 comentarios

  1. Estas Navidades,cuando en familia nos reunamos a celebrar el nacimiento de Jesus ,tendremos roscas Percan
    Ademas ,en nuestro corazon,ese dia nos acordaremos de el valiente catalan que las creó

  2. Deberia entrar como menú obligatorio en todas las escuelas de Cataluña…compraré La Zarza si los encuentro

  3. Parece que hay un montón de gente que va ha dejar de hacer el cimbel y…votará por VOX y por España!

  4. SOLIDARIDAD
    El mocho se solidariza con la huelga de hambre del par de pazguatos ..mientras saborea una langosta y un chuletón de buey de Kobe regado con un Vega Sicilia.
    Adelante camaradas toda nuestra solidaridad está con vosotros !!!!

  5. En Barcelona, territorio colonizado por los casposos catalanes, a buen seguro tendrán éxito.

    • Ya puede Casado quitarse los maricomplejines de encima en estos meses, y, de paso, expulsar a las numerosas rémoras del sorajoyismo que lastran al PP: porque el merecido fostión electoral que se van a llevar, será de órdago a la grande.

      Ya estoy deseando saber qué pasa mañana con las andaluzas, y leer los comentarios dolços 😈😈😈

      • Espero que haya suficientes votos constitucionalistas para dar la patada a la corrupta mayor del reino: la PSOE de Andalucía. Y de paso, que se hunda POTEMOS.

  6. Cataluña es parte de España, aunque hoy en día tiene un mayor número de tunantes. Y también de bandarras de cutis fino.

    Sin en lugar de dedicarse al lloriqueo trataran de imitar a Simone Weil todo iría mejor.

    https://vientosdelasdosorillas.blogspot.com/2018/12/todo-empezo-con-simone-weil.html

    • Simone Weil fue la meretriz que establecio en aborto en Francia… Ley Weil.
      No creo que sea pueda aprender nada de una feminista insensible hacia sus hermanas de genero.

      • Simone Weil ou la haine de soi
        Posted by Le CAPE on 3/03/12 • Categorized as Livres et publications

        “Je ne disculperais pas aisément Simone Weil de l’accusation d’antisémitisme […]. Sa proposition d’interdire les mariages non mixtes afin d’éliminer le judaïsme équivaut à une volonté d’ethnocide”.
        Raymon Aron

        “La malédiction d’Israël pèse sur la chrétienté. Les atrocités, l’Inquisition, les exterminations d’hérétiques et d’infidèles, c’était Israël. Le capitalisme, c’est Israël. Le totalitarisme, c’est Israël…”
        S. Weil, La pesanteur et la grâce.

        Simone Weil, philosophe d’origine juive dont on célèbre actuellement en grande fanfare le centenaire, a fait l’objet, de son vivant et depuis sa mort en 1943, de très nombreuses études, biographies ou monographies. Mais curieusement, la plupart des livres qui lui ont été consacrés – à l’exception notable de celui de Paul Giniewski – ont tous ignoré un aspect essentiel de sa personnalité et de sa pensée : son judaïsme, ou plus exactement son rejet du judaïsme et d’Israël. De nombreux auteurs ont ainsi évoqué la philosophe, la militante, la syndicaliste, la mystique, la chrétienne (souvent qualifiée de “Sainte”)… Mais aucun, depuis Giniewski, ne s’est penché sur la figure captivante, et étonnament moderne, de la Juive atteinte de cette maladie terrible, la haine de soi.

        Dans son livre intitulé Simone Weil ou la haine de soi, Paul Giniewski observait fort justement, il y a plus de 30 ans, que la littérature sur Simone Weil comporte une lacune. Il remarquait aussi le “concert de louanges” entourant Simone Weil : “On lui prête tant de vertus qu’on est tenté, paraphrasant une de ses remarques sur les Romains, d’écrire qu’il serait plus simple d’énumérer celles qu’elle ne possédait pas : on n’en trouverait guère…”. Cette remarque n’a rien perdu de son à-propos, au contraire… On est presque gêné en lisant, dans le flot de livres et d’articles parus à l’occasion du centenaire de sa naissance, les superlatifs distribués sans la moindre retenue. J’en donnerai seulement deux exemples, parmi des centaines. Cette expression de Christiane Rancé, une de ses biographes, qui parle sans ironie de la “courbe parfaite de sa vie”, et cette affirmation du philosophe Michel Serres (citée par C. Rancé) : “Ce qu’il y a d’exceptionnel chez Simone Weil, c’est qu’elle ne s’est jamais trompée…”. Nous allons voir que, précisément, Simone Weil s’est beaucoup trompée, surtout sur un sujet important, qui est au cœur de son itinéraire spirituel et intellectuel : les Juifs et Israël.

        Comment expliquer l’engouement pour Simone Weil, philosophe austère, prônant le dénuement et la chasteté, en notre époque de consommation et de liberté sexuelle absolue ? L’hypothèse que je voudrais développer dans le cadre restreint de cet article est que la modernité de Simone Weil (et peut-être aussi l’intérêt démesuré qui lui est manifesté en France et ailleurs, au-delà du phénomène éditorial) tient justement à son attitude ambigue et négative – que ses biographes ignorent ou minimisent – envers ses origines juives, envers le judaïsme, et envers Israël, peuple et religion (elle est décédée avant la création de l’Etat d’Israël, mais on devine aisément comment elle l’aurait accueilli…).

        Modernité de Simone Weil

        Ce qui frappe de prime abord, en parcourant la profusion des ouvrages, articles et recensions consacrées à la philosophe Simone Weil, c’est le caractère excessif de sa pensée et de son engagement. Sans diminuer l’intérêt de son œuvre philosophique et politique, on peut dire qu’elle est plus idéologue que philosophe. C’est une intellectuelle engagée, avec certes beaucoup de sincérité, mais aussi avec un excès et un jusqu’au boutisme jamais démentis. Voici, en vrac, quelques traits de son engagement politique, qui témoignent tous de son caractère très actuel.

        Pacifiste. Encore étudiante, elle adhère au mouvement pacifiste “Volonté de Paix”, créé par les élèves du philosophe Alain. Elle restera pacifiste jusqu’à sa mort, en pleine guerre, soutenant avec obstination les Accords de Munich (elle qualifie le statu-quo “d’injustice infligée aux Sudètes”) et faisant preuve à l’égard de l’Allemagne nazie d’un aveuglement total, comme le montre bien Giniewski. (Ce qui n’empêche pas l’académicien Serres de dire qu’elle ne s’est “jamais trompée”…)

        Syndicaliste et ouvrière. Un demi-siècle avant la mode de l’intellectuel “établi” (chez les militants de la Gauche Prolétarienne et des autres mouvements maoïstes), Simone Weil part travailler en usine, pour y découvrir de près la condition ouvrière (titre d’un de ses livres).

        Agitatrice. Elle adore faire scandale, dans tous les sens du terme (ses parents, et son frère André Weil, mathématicien renommé, n’y voient qu’une manie d’adolescente…) Et elle sait utiliser les médias, bien avant l’invention de la télévision. Ainsi, dans la ville tranquille du Puy, où elle enseigne, elle crée un “syndicat des chômeurs”, suscitant la fureur du maire (dont elle a investi le bureau) et se faisant interpeller par la police. “Il n’y a que Simone Weil pour réussir à provoquer une grève de chômeurs”, note avec amusement son ancien professeur Alain.

        Compassionnelle. Ses engagements politiques sont toujours motivés, plus que par la raison, par la passion, et surtout par la compassion. Elle aime son prochain, c’est-à-dire toute l’humanité, (sauf les Juifs, observe justement Giniewski). Lisant dans la presse la description de la révolte des coolies – les paysans indochinois – elle s’identifie à eux : “Des larmes de honte m’étouffaient, je ne pouvais plus manger”… Cet amour ne connaît pas de limite : en pleine guerre, elle défend un jeune Allemand…

        Antisémite. C’est bien entendu le côté le plus sombre (et le plus tabou) de sa personnalité, tellement louée par ses contemporains comme par les nôtres… Juive antisémite, Simone Weil abhorre tant la religion de ses pères (dont elle ne sait presque rien) que le peuple juif dans son ensemble, pour lequel elle ne témoigne d’aucune compassion, même pendant les heures les plus sombres de la montée du nazisme et des persécutions hitlériennes. Au contraire, elle manifeste une compassion exclusive pour toutes les victimes autres que les Juifs… Obsédée par la “cruauté” de l’Ancien Testament, elle revient sans cesse sur le sujet des massacres commis par les Hébreux (“Les Hébreux n’ont presque fait qu’exterminer, du moins avant la destruction de Jérusalem”… Et ailleurs : “Les Hébreux conduits par Josué, purent massacrer sans peine des populations sans défenseur”…). Sa conclusion logique, mais peu originale, est qu’il faut “purger le christianisme de l’héritage d’Israël”.

        Une “alter-juive” avant l’heure

        Loin d’être anecdotique ou accessoire, l’aspect juif (ou antijuif) de la pensée et de l’engagement de Simone Weil revêt, à mon avis, une importance cardinale pour comprendre sa personnalité et aussi pour décrypter l’engouement qu’elle suscite jusqu’à aujourd’hui. Sa haine d’Israël est en effet la conséquence de son pacifisme extrémiste et de sa compassion universelle. Elle est à la fois pleine d’amour pour les hommes, surtout les plus pauvres et les plus malheureux, et pleine de haine et de ressentiment pour Israël. En cela même, elle est extrêmement moderne, et ressemble à un abbé Pierre défendant Garaudy. En avance sur son temps, elle pratique déjà ce que Finkielkraut a appelé récemment l’antiracisme antisémite. On l’imagine bien manifestant pour la Palestine, sous les drapeaux du Hamas, ou contre la guerre en Irak…

        J’exagère ? A peine… J’en veux pour preuve ces lignes tirées de Témoignage chrétien, journal qui est conforme à la ligne politique de Simone Weil, par son antisionisme chrétien de gauche. On peut y lire, sous la plume de François Thuillier, un hommage intitulé “Simone Weil, la petite fiancée de la mort”, qui est à la fois lucide et excessif dans l’éloge, et qui illustre la passion suspecte que suscite la personne de Simone Weil aujourd’hui en France. “Tout ayant été dévoilé bien avant sa mort, elle n’aura de toute façon rien manqué. Certes, mai 1968 l’aurait attristée, la Chute du Mur l’aurait ennuyée et Al-Qaida l’aurait amusée, mais tout cela aurait peu compté… Elle vécut le tout de ce qu’elle savait, portant la souffrance comme un sacrement. Elle fut ce lutin magnifique qui éleva la voix au milieu des pharisiens et des notaires de l’Histoire. Cette Antigone fragile qui frôla à la fois le glaive et la croix…” Etc. Ce lyrisme béat d’admiration exprime sans doute mieux que toutes les analyses ce que représente pour une certaine idéologie contemporaine la personne de Simone Weil, juive qui ne s’aimait pas et qui détestait les siens. “Al-Qaida l’aurait amusée”, écrit sans honte ce professeur d’études stratégiques… Triste époque !

        Pierre Itshak Lurçat

      • https://www.riposte-catholique.fr/archives/140061

        Dans votre article paru le 2 juillet 2017 dans le journal la Croix ICI , vous écrivez : « Les réactions violentes d’une certaine blogosphère catholique au discret hommage rendu vendredi par l’épiscopat à l’ancienne grande femme de la politique ne sont pas seulement indignes. »

        Exprimer, à l’occasion du décès de Simone Veil des sentiments de colère, de souffrance quant à l’essentiel de son action politique qui fut de soutenir la dépénalisation de l’avortement, IVG, c’est très honorable et conforme à l’établissement de la vérité. Mais si vous vous en indignez, c’est que peut-être est-vous favorable à ce faux droit, à moins que pour des raisons d’ascension professionnelle vous êtes abîmée dans le marais insalubre du relativisme et de l’antichristianisme ?

        Isabelle de Gaulmyn : « D’abord, parce que réduire une vie aussi riche à la loi de 1974 est faire preuve d’une certaine étroitesse d’esprit. Ensuite, parce que le combat mené par Simone Veil pour légaliser l’avortement, que l’on soit pour ou contre, porte la marque d’une grande dignité. »

        Mais croyez-vous que si Simone Veil n’avait pas associé son nom à ce génocide, elle aurait eu la carrière que nous lui connaissons. Etait-elle connue avant d’être nommée ministre de la santé et de soutenir l’IVG ?

        « …est l’étroitesse d’esprit »? Le sujet n’est pas mince et, ce malgré la volonté de le banaliser. Nous sommes en présence d’un crime organisé industriellement et économiquement.

        « Porte la marque d’une grande dignité… » De quelle dignité parlez-vous ? J’espère que vous privilégiez celle des victimes innocentes, car si vous la conférez à tous ceux qui ont voulu et défendu l’IVG, alors vous admettrez de la conférer à Goebbels, à Himmler, à Hitler et tous les génocidaires de notre histoire contemporaine. Simone Veil, Valéry Giscard d’Estaing et tant d’autres auront été les ennemis de la dignité ontologique du genre humain. Soyez rassurée, Simone Veil ne fut pas mon ennemie, mais l’ennemie du don de Dieu le Père, l’ennemie d’Abraham par qui la multitude fut bénie. Sa loi de 1974 a fait plus de victimes que les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki.

        Isabelle de Gaulmyn : « Jamais l’ancienne déportée d’Auschwitz, mère puis grande mère heureuse, n’a été une militante du « droit à l’avortement ». Comme elle le dit à l’époque, « personne n’a jamais contesté que l’avortement soit un échec, quand il n’est pas un drame ». Simplement, elle a choisi toute sa vie de défendre une certaine idée de l’action publique. »

        Madame, comment pouvez-vous soutenir : « Jamais l’ancienne déportée d’Auschwitz, mère puis grande mère heureuse, n’a été une militante du « droit à l’avortement ». Simone Veil ne s’est jamais publiquement opposée au projet d’extension de l’IVG, ni à son remboursement par l’impôt ? Ne pouvait-elle jouer de son prestige pour s’opposer à toutes les dérives qui sont les conséquences directes de l’IVG ?

        « Simplement, elle a choisi toute sa vie de défendre une certaine idée de l’action publique. » Mais comment pouvait-elle être habitée par le concept du bien commun alors qu’elle était franc-maçonne et, que du fait de la situation de son époux, elle ne pouvait ignorer que la dépénalisation de l’avortement était dans l’intention des courants mondialistes ?

        Isabelle de Gaulmyn : «Comme femme, elle ne pouvait ignorer la détresse de celles n’ayant d’autres choix alors que de se faire avorter dans la clandestinité. On ne peut s’empêcher de penser que porter cette loi, lorsqu’on avait subi ce qu’elle avait dû subir comme humiliations, avait aussi un autre sens. »

        Croyez-vous vraiment que ces mères en détresse n’auraient souhaité d’autres choix que d’avorter ? L’Etat était-il à ce point impuissant pour ne pas proposer une solution plus conforme au Droit Naturel, aux lois de création ? Pourquoi, ce qui était possible dans l’Ancien Régime, ne le serait plus aujourd’hui ? Toute la problématique morale de la démarche de Simone Veil vient de ce que justement, elle a connu le mépris de la vie humaine dans les camps nazis et, elle n’en a tiré aucune leçon. Ne pensez-vous pas qu’elle puisse passer par le jugement des consœurs qui moururent sous férule nazie ? L’histoire madame est implacable.

        Isabelle de Gaulmyn : « Et comme ministre, elle assumait courageusement une forme d’obligation de l’État, face à un problème majeur de santé publique. Cette haute conception du sens de l’action politique, au-delà des convictions éthiques personnelles, marque tous ses combats. »

        Où est le courage quand on condamne à mort l’innocent ? Et, l’avortement était-il réellement un problème de santé publique ? Un mal si grave devait-il être réglé par un mal encore plus grave ? Où est le sens du bien commun ? Et pourquoi vous croyez-vous obligé d’user d’une manipulation sémantique « convictions éthiques personnelles » alors que le mot éthique désigne l’étude de la morale dans un milieu social précis, il ne serait donc remplacer le mot « moral » et quel combat brave que celui de condamner à mort l’enfant à naître ! Quel mépris de la maman, de la maternité, de la femme !

        Isabelle de Gaulmyn : « Car Simone Veil était tout sauf une idéologue. Au contraire, elle était guidée par la force d’une profonde liberté intérieure, sans doute acquise ce jour où, sortant de l’horreur du camp d’Auschwitz, elle eut ce sentiment de révolte devant l’indifférence, se promettant de ne pas avoir survécu pour se résigner à « être rendu au silence ».

        Le discours que Simone Veil prononça au parlement était certainement idéologique, il est un résumé de la manipulation sémantique et dans une logique absolue du Siècle des Lumières donc de la révolution. Certainement, Simone Veil était une idéologue et elle rejoint dans son maniement sémantique le très tragique droit nazi qui justifiait les crimes. Simone Veil n’était pas une intelligence au service de la vérité puisqu’elle ne s’est pas mise au service de la défense de la vie.

        Isabelle de Gaulmyn : « Ce sens de la liberté traverse toute sa vie. Et il explique aujourd’hui la dimension transpartisane des réactions à sa disparition. Simone Veil mérite l’hommage de la nation. De toute la nation. »

        Madame Gaulmyn, de quelle liberté parlez-vous ? Je crois qu’il vous faudrait revoir votre philosophie, car ce mot ne semble pas valoir cette parole : « La vérité vous rendra libre ! » Croyez-vous que faire le mal, le favoriser dans son action la plus extrême puisse être un témoignage de liberté ?

        « Les réactions transpartisanes » pour les hommages viennent de ceux qui poursuivent l’œuvre criminelle et qui sans relâche l’aggravent avec zèle et obéissent aux ordres maçonniques.

        Simone Veil ne mérite pas l’hommage de la nation qu’on ne doit pas confondre avec la république : que l’Etat Républicain lui rende hommage c’est normal puisqu’elle l’a servi dans le sang de l’innocent et nous savons que la République surtout en France se repaît de sang de nos enfants.

        Madame Isabelle de Gaulmyn, vous avez rédigé cet article dans un journal qui se réclame de l’Eglise Catholique. Nous savions depuis l’après-guerre que ce journal faisait un travail de taupe dans l’Eglise et nous ne sommes pas surpris que votre article y paraisse. Et quant à l’hommage de la permanence de l’Assemblée des évêques de l’Eglise de France, votre journal excelle dans le Trans-modernisme et le Trans-maçonnique, alors madame laissez-nous rire tristement de cet hommage épiscopal d’évêques qui ne cessent de collaborer avec le mal et s’apprêtent à l’apostasie. Nos évêques à l’exception de quelques-uns ont perdu toute crédibilité et, depuis trop longtemps tout honneur.

        Madame êtes-vous encore catholique ?

      • igual nos hemos confundido
        – hay una filósofa Simonne Weil muerta en el Holocausto
        – hay una política Simonne Veil, premio Princesa de Asturias de Cooperación Internacional de 2005, legalizadora del aborto en Francia, judía no sionista, francesa contraria a los franceses de pura cepa, supuestamente centrista con Valéry Giscard d’Estaing (enemigo de España como buen francés y mejor masón) y hasta colaboradora de Nicolas Sarkozy, húngaro, judío y casado con una italiana, vamos, el presidente normal para la República universalista francesa

        https://www.riposte-catholique.fr/archives/140061

      • Pues sí.

        Si tuviesemos que confiar en alguno de los cientos de miles de los políticos que votamos y que tan generosamente pagamos para que nos vendan por 30 monedas, esto sería una ruina.

        Menos mal que en este país todavía mucha gente madruga todos los días para hacerle funcionar.

        ¡Gracias, trabajadores y trabajadoras!

        Sois unos héroes.

        El que no chupeis cámara en vuestra TV ni os hagáis autohomenajes en comilonas pagadas por el contribuyente, sabed que el Pueblo no pica y sabe muy bien quién es quién.

  7. No digas «el Estado»

    Di «los POLÍTICOS» , que son los que nos fuerzan en nombre del Estado, o de la nación, o de la lengua… a hacer lo que no queremos hacer.

    Fueron los políticos y PUJOL los que crearon el golpe de estado pasado y los que siguen intentando desconectar Cataluña de España.

    El que por comodidad digamos «Generalitat», «Moncloa», «Europa»…
    tiende a hacernos olvidar que son políticas determinadas, que obedecen a necesidades privadas y que llevan a cabo políticos muy determinados con nuestro dinero y la fuerza de la institución que controlans

    (en Cataluña, en España y en Europa, como NO hay democracia, estamos en manos de mafias y grupos de presión secretos)

  8. Rufianeitor 😠😠😠

  9. «Mèrida», «Saragossa», «Pelai»..; cuando Dolça Catalunya se nos pone cur-si… ay. O igual soy yo, que soy catalanófobo perdido 😎😎😎

    Los que gastéis Twitter podéis felicitar a nuestros amigos de Parcan. Y, de paso, averiguar sus puntos de distribución para comprar sus productos. Se lo merecen.

    https://mobile.twitter.com/parcandulceria?lang=es

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